Mercredi soir, sortie à Louvain-la-Neuve. Je rejoins un ami, ensuite, nous allons dans une pré-soirée chez d’autres amis. Nous partons dans un autre appartement, pour fêter un anniversaire. Arrivés sur place, je suis criblé d’insultes et de cris par un jeune homme rouge de colère, hystérique, presque en pleurs.
C’est avec vingt-cinq minutes de retard que j’arrive à mon rendez-vous Tinder de ce soir. Elle est déjà assise, en train de boire un verre en terrasse. Je bouscule tout et tout le monde pour passer et j’oublie de m’excuser en arrivant à sa table. Elle me lance un regard noir. J’essaie d’avoir l’air détaché,
L’éjaculation précoce, où le problème de performance le plus gênant quand on est sur le point (ou quand on est en train) de coïter une nana. Tu lâches la purée après quelques secondes, comme un puceau, et la traînée que tu allais démonter, elle reste sur sa faim. Et elle va voir Hippo !
Je suis en vacances cette semaine. Avec un ami, nous partons à la mer du Nord pour travailler notre bronzage sur la plage. De retour sur Bruxelles, la fille de mon dernier article, avec qui j’avais couché après avoir prétexté vouloir faire une sieste, vient chez moi.
Cher lecteur, bonjour. Ou bonsoir. Il est venu le temps pour moi de t’avouer quelque chose : je ne drague plus dans la rue. Oh ! Ca n’a rien à voir avec toutes ces conneries qu’on entend, le harcèlement de rue, le féminisme, bla-bla, t’inquiète ! Je m’en fous et ça ne me concerne pas.
« Badaboum, hé, ho, t’es tombée sur un salaud, patatra, hé, ha, c’est sûrement celui de trop… » Je mets cette musique de Hooverphonic à fond dans mon salon quand la fille de cette nuit se barre de chez moi. Avant qu’elle parte, elle me dit :
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